Première partie de l’entretien avec Sébastien Lespinasse. Cette première partie est consacrée à la question de la poésie sonore, à la présence du corps dans ses performances.
Première partie de l’entretien avec Sébastien Lespinasse. Cette première partie est consacrée à la question de la poésie sonore, à la présence du corps dans ses performances.
Oui, un grand talent de comédien (entre autres). Une vraie réflexion aussi, lucide – et très deleuzienne (expérimentation versus représentation, corps sans organes).
Il ne s’agit évidemment pas de contester l’apport propre de telles expérimentations. Néanmoins, si quelque chose est ainsi conquis, je me demande toujours qu’est-ce qui est alors perdu (ou hors d’atteinte), quelque chose qui n’est (ne serait) possible que dans l’enceinte, la chambre « insonorisée », de la poésie seulement écrite (même si elle peut être aussi dite). Qu’est-ce qui, à côté (et non pas contre), fait l’intérêt, toujours, d’expérimentations comme celle qu’on trouve aujourd’hui chez Fourcade, par exemple ? Qu’est-ce qui fait l’intérêt propre, disons, d’un néo-acméisme ?
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Interview de Jacques Donguy fait lors de la soirée Ultra-Volt
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