Au commencement, une valise pleine de notes devenues illisibles – et donc poétiques… Et une série : « C’est la valise ».
Cette fois la note de départ s’est retrouvée collée aux farinades de Fernand Fernandez…
Après l’épisode #3 de la série « C’est la valise », « Autant-autant » ou comment transcrire une lecture de Thomas Hardy en français-fautif, nous continuons le dialogue avec Corinne Lovera Vitali pour cet épisode #4, en collaboration avec Fernand Fernandez.
Où il sera question de Mickey Donovan : « easy cummings : no capitals no periods any of that shit just papapapa », puis la lettre de farine de Fernand Fernandez, qui parle couramment en langues…
L’interrogation porte toujours sur la difficulté à dire/écrire…
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