Ce texte a été lu à Lodève le 30 juillet à la galerie art en cours. Nous avons proposé à Claude Yvroud d’en publier un extrait sur Libr-critique.
« La douche du matin soude quelques bribes incohérentes de la vie de H.
N toute à sa joie et ne sait pas pourquoi.
F préfère rire de tout pour ne pas se tromper.
Entre temps de l’eau à coulé sous les fenêtres de D.
Enlève moi mes anneaux E les uns après les autres que je commence mon numéro !
Aujourd’hui c’est aujourd’hui A et je n’ai pas à me justifier !
L’air que respire R est le même pour tous.
M n’est pas omnivore mais insatiable. »
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