Henri Michaux avait son "grand violon", Corinne Lovera Vitali a son clavier – sans en faire un manifeste poétique. De quoi s’agit-il alors ? De faire jouer pour nous le clavier de son imaginoir, de faire vibrer ses/nos cordes sensibles… Au commencement, une valise pleine de notes devenues illisibles – et donc poétiques… Et une série : "C’est la valise". /Fabrice Thumerel/
C’est avec un grand plaisir que nous entamons ce nouveau dialogue avec Corinne Lovera Vitali : voir l’épisode #1 de la série "C’est la valise", "Mon clavier".
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