Libr-lecteurs, forces vives,
allons-nous laisser le privilège aux seules puissances destructrices – qu’on les nomme capitalisme, fanatismes, racismes ou autrement – de provoquer des cataclysmes ? La littér@ction n’est-elle pas avant tout cataclysme ? La crise, n’est-ce pas à nous de la déclencher ?
Libr-lecteurs, forces vives,
qu’est-ce qui vous empêche de Libr-@gir ? En créant, criant, crisant…
Juste avant la pause, merci de lire l’Appel ci-dessous et de le faire circuler pendant de longs mois.
Merci d’envoyer vos contrib@ctions, vos propos@ctions et ré@ctions à libr.critik@yahoo.fr ou en messages sur le site.
Pourquoi la littérature ne serait-elle pas/plus apocalypse ? L’apocalypse, c’est maintenant. Toujours maintenant. Dans le présent illégitime (Desportes).
Pour peu que la littérature échappe aux cirques (merdiatique, spectenculaire) et aux circuits (éditorial, institutionnel),
à la lissetérature (Meens) des doctes et des schnocks, des ambitions et des nominations, du business is business, du cequilfaut/commilfaut/quantilfaut, du buzzing-hobbying-lobbying-marketing-advertising,
la littérature peut être éprouvante, galopante, dévorante…
ou plutôt inéchangeable, inqualifiable, incaractérisable…
ou plutôt dans le bord et le débord, l’infection virale, l’épidémie, la cancérisation… littér@ction…
Libr@ction vise à partager des ém@ctions, produire des électr@ctions, des manifest@ctions…
En clair, nous vous proposons des cré@ctions à télécharger, faire circuler, mettre en voix, en musique, en scène…
Distribuez-les, déclamez-les, activez-les où bon vous semblera (rues, zones, scènes, prisons, no man’s lands… sorties des établissements acacadémiques/admisinistratifs/commerZiaux)…