C’est avec une immense tristesse que j’apprends la disparition de Tibor Papp.
Je l’ai connu au début des années 2000 à Arras grâce à Philippe Bootz, un de ses fidèles amis avec qui il avait créé la première revue de littérature sur disquette : Alire au milieu des années 1980.
Les soirées passées avec Tibor Papp aussi bien à Arras qu’ensuite à Angoulême où nous l’avions invité Hortense Gauthier et moi-même, notamment avec Jacques Donguy restent inoubliables, tant il avait de l’humour, tant il irradiait d’une culture profonde et pertinente.
Vous pouvez lire le beau témoignage de Patrick Beurard-Valdoye sur sitaudis ici, qui rappelle à quel point Tibor Papp a été novateur en poésie concrète grâce à l’outil informatique.
Ou bien regarder une performance que j’avais fikmée en 2007, lors du festival genealogi.Z 2.