La Blondeur de Cécile Mainardi, postface de Stéphane Bouquet, (non paginé) 140 p., ISBN : 2-915879-21-4, prix : 12 €4ème de couverture :
Cécile Mainardi est au Negresco avec deux hommes. L’un est nettement brun, l’autre châtain gris. ils boivent tous les trois un cosmopolitan (vodka, Cointreau, citron et jus de cranberry).
(Nice, le 7 juin, 0h20)
Premières impressions :
Qu’est-ce qui se cache sous la couverture-chevelure de ce livre des Petits Matins (et dans cette chevelure des pages, car il faut bien souligner que les éditions des Petits matins et leur Design Labomatics, n’ont pas peur d’être too much!). Quelle blondeur ? Vers où nous conduit cette recherche de la blondeur, du souvenir de la blondeur, du dire de la blondeur, du voir de la blondeur, du devenir de la fausse-blondeur…. etc… En attendant de lire la chronique d’Hortense Gauthier, un livre que nous recommandons chaudement du fait de « la blondeur couleur fond d’aquarium de restaurant thaïlandais », car très bie élaboré par ses parties, à l’écriture très maîtrisée et à l’humour incisif. PB