[News] News de vacances

[News] News de vacances

août 11, 2009
in Category: News, UNE
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Après un mois de vacances, et avant la rentrée de Libr-critique – dont vous trouverez ci-dessous un aperçu -, voici une sélection de livres reçus/lus et de Libr-brèves pour vous permettre de terminer passionnément ce mois d’août…
OPÉRATION LIBR-VACANCES : Dans les trois semaines à venir, comme promis, nous vous proposons de laisser en commentaires vos conseils de lectures, voire de nous envoyer vos notes de lecture plus élaborées [libr.critik@yahoo.fr]. Pour les SP de rentrée, pas de changement d’adresses (cf. rubrique adéquate). /FT/

Livres reçus/lus

► Alfred Döblin, Berlin Alexanderplatz (1929), nouvelle traduction par Olivier Le Lay, Gallimard, "Du monde entier", 2009, 459 pages, 24,50 €, ISBN : 978-2-07-011971-4.

" Berlin Alexanderplatz est un texte violent et musical, un récit épique qui progresse d’un pas
claudicant, capte l’énergie syncopée de la rue" (O. Le Lay, p. 7).

Paru la même année que la première partie de L’Homme sans qualités – chef-d’œuvre publié dans son intégralité et reconnu après la mort de Musil -, et avant même la trilogie de Dos Passos, USA (1930-1936), Berlin Alexanderplatz (1929) est une épopée moderne, un récit excentrique dans le droit fil du Tristram Shandy de Sterne, un roman parlant (Jérôme Meizoz) qui méritait une traduction autre que lacunaire et compassée. C’est chose faite grâce à Olivier Le Lay, qui réussit à rendre le phrasé de Döblin, à recréer une oralité inouïe, à nous faire entendre "la grande rumeur de Berlin " (8).

Raymond Federman, Les Carcasses (72 pages, 12 €) et La Fourrure de ma tante Rachel (284 pages, 20 € ; 1e édition : Al Dante/Léo Scheer, 2003), à paraître en septembre 2009 aux éditions Léo Scheer.

Avant leur sortie en septembre, ouvrons un simple regard sur ces fictions diversement excentriques dans lesquelles – et voici au moins un point commun – on retrouvera un art de la digression propre à l’auteur joyeusement octogénaire : dans la "fable relue et amplifiée par Stéphane Rouzé", la mort y est traitée avec fantaisie au fil des transmutations post-mortem ; elle constitue par ailleurs la tache aveugle de cette autofiction parlée qu’est La Fourrure de ma tante Rachel, entre cul et famille… Au reste, "écrire c’est produire un nouveau modèle qui te permet de mieux comprendre ta vie avant demourir…" (255).

► Brigitte Buffard-Moret dir., Poésie, musique et chanson, Artois Presses Université, disponible en septembre 2009, 232 pages, 18 €, ISBN : 978-2-84832082-3.

Quatrième de couverture :

" De l’aube de la littérature à nos jours, en France comme à l’étranger, poésie, musique et chanson ont partie liée. Ce sont les zones où ces trois éléments se joignent ou se croisent qu’explorent les articles de ce recueil, où il est question de poèmes à chanter et non chantés du Moyen Âge chinois, de lyrique médiévale hispano-arabe, de chansonnettes mesurées du XVIe siècle, de chansons des rues inspirant poésie et musique savantes du XVII e siècle, du chant féerique dans la poésie symboliste, de la pérennité d’une strophe de chanson à travers les siècles, de Verlaine, de l’articulation entre poésie, musique et cinéma dans la Grèce d’aujourd’hui, du lien entre la chanson contemporaine française et la poésie, ainsi que de la façon dont la chanson, à l’école, permet de découvrir la poésie."

Sur la littérature contemporaine : Stéphane BAQUEY, "Jacques Roubaud et la chanson : histoire d’un impossible retour ", p. 159-179 ; Fabrice THUMEREL, "Poésie, musique et chanson dans le champ poétique contemporain. Étude sociogénétique ", p. 181-198 – dont on pourra lire la présentation ci-dessous.

" Il s’agit d’étudier, au sein du champ poétique contemporain (1990-2007), la typologie et la généalogie des formes interdisciplinaires, avant de s’interroger sur la structuration des relations entre poésie, musique et chanson. Au terme de notre parcours, nous aurons donc pu examiner l’éventail des principales postures.
Dans un état du champ où les nombreuses manifestations organisées partout en France attestent le triomphe d’ « une nouvelle oralité » — pour reprendre l’expression d’André Velter, maître d’œuvre des « Poétiques » de France Culture, et par ailleurs producteur de l’émission Poésie sur parole et éditeur de l’anthologie Orphée Studio. Poésie d’aujourd’hui à voix haute (Gallimard, « Poésie », 1999) —, cette question des rapports entre poésie, musique et chanson est cruciale, puisqu’elle va nous permettre de voir se dessiner diverses lignes de fracture."

Études littéraires, Université de Laval, Canada, vol. 40, n° 1, hiver 2009, dossier sur la NRF.

On lira avec intérêt ce dossier à dominante sociologique coordonné par Anna Boschetti, qui s’était déjà chargée du numéro intitulé " La NRF a cent ans. Ascension et déclin de la Banque centrale de la République des Lettres du XXe siècle " (vol. 39, n° 3, été 2008) :

Maaike Koffeman, "La naissance d’un mythe. La Nouvelle Revue française dans le champ littéraire de la Belle Époque" ; Michael Einfalt, " « … penser et créer avec désintéressement » — La Nouvelle Revue française sous la direction de Jacques Rivière " ; Sophie Levie, "Jean Paulhan, rédacteur en chef de La Nouvelle Revue française de 1925 à 1930" ; Martyn Cornick, "Une institution française : La Nouvelle Revue française de Jean Paulhan" ; Gisèle Sapiro, "Un héritage symbolique détourné ? La Nouvelle Revue française des années noires."

Place publique, Nantes/Saint-Nazaire. La revue urbaine, # 16, juillet-août 2009, 160 pages, 10 €, ISBN : 978-2-84809-120-4.

En plus d’un intéressant entretien d’une dizaine de pages avec Pierre Michon sur Les Onze (Verdier, 2009), la dernière livraison de cette magnifique revue dont l’intérêt ne se cantonne nullement à un quelconque localisme – et, fait non négligeable, d’un excellent rapport qualité/prix – nous offre un dossier qui réussit la gageure de ne pas tomber dans la redite : "Nantes et le surréalisme : le rêve et la réalité" (p. 4-48). Comme le souligne Didier Guyvarc’h, la construction du mythe de Nantes « s’élabore en un temps où la ville qu’ont connue Vaché et Breton n’est plus vécue mais fantasmée, en un temps où le surréalisme fait le bonheur des commissaires-priseurs et celui d’une ville soucieuse de son image, soucieuse de ne plus être la "belle endormie", mais l’"allumée" » (p. 17). À la suite, on découvrira l’article de Jean-Claude Pinson sur une poétique surréaliste de la ville régie par la tension entre demeure et dérive, sans oublier d’emboîter le pas à Patrice Allain pour déambuler dans le dédale des repères spatio-temporels…

Mathias Pérez, éditions Carte Blanche, juillet 2009, 156 pages, 30 €, ISBN : 2-905045-53-1.

Cette monographie luxueuse et synthétique vous permettra d’explorer l’œuvre du peintre qui dirige les éditions Carte Blanche comme la revue Fusées : reproductions de toiles, photos et documents divers, bibliographie et entretien (avec F. Thumerel, p. 122-139), et contributions de Éric Clémens, Michel Butor, Christian Prigent, Marc Pataut, Jean-Pierre Verheggen, Hubert Lucot, Jacques Demarcq, Rémi Froger, Hervé Castanet, Pierre Le Pillouër, Charles Pennequin, Cécile Wajsbrot, Philippe Boutibonnes, Raymond Federman, Claude Minière, Bernard Noël.

 

Libr-brèves

DU CÔTÉ DE PUBLIE.NET : Joris Lacoste, Comment faire un bloc, précédé de Ce qui s’appelle crier, 45 pages, 5,50 €.

On découvrira cet ABC à vous couper le souffle – littéralement -, suivi d’un dialogue "constructif"… Faisons nôtre ce commentaire de François Bon :

"Aussi bien dans Ce qui s’appelle crier que dans Comment faire un bloc sont présents les énonciateurs, non pas des personnages, non pas des acteurs, mais des voix en mouvement, en traverse d’espace, qui vont prendre le risque du monde, son énonciation au plus près, la tâche de révolte, et ce qu’elle induit du travail intérieur. Joris Lacoste, avec ces deux textes, a installé une partie de la grammaire de notre littérature contemporaine, hors genres – la poésie ici déborde, et tout le récit est appelé."

► On découvrira en septembre le dernier numéro de la revue Chimères au titre très deleuzien : "DEDANS-dehors" (n° 70).

Runbook : commencé en ce début 2009, cet " art book in progress qui traite du paysage, visible ou invisible " s’achèvera en janvier 2010. De la livraison de juillet, retenons le poème de Bruno Fern, le montage de Jean-Louis Bergère sur son corps, qui "n’est jamais tout à fait détaché de son ombre", les bleus-et-blancs de Georges Guillain, quelques photos insolites…

Groupe PRIGENT sur Facebook : que vous soyez spécialiste ou non, venez nous rejoindre afin de livrer vos impressions de lecteur, de bénéficier des informations, des nombreux documents et liens, des bibliographies remises à jour régulièrement, de diverses contributions…

"Les Manifestes littéraires au tournant du XXIe siècle", Colloque international à l’Université de Bologne organisé par Anna Boschetti, 17 et 18 septembre 2009

Argumentaire :

" L’âge d’or des manifestes littéraires, qu’on peut situer entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle, est révolu. Les inquiétudes de la fin du XIXe siècle, la multiplication des débats entre les différents groupes et écoles, avaient fait du manifeste la forme privilégiée pour l’affirmation des tendances nouvelles et pour toute prise de position publique.
Dans la seconde moitié du XXe siècle, les manifestes changent de forme et de fonction. Ils sont moins péremptoires et ils prennent plutôt l’allure d’«antimanifestes» (J. Demers et L. Mc Murray, 1986). L’exemple majeur reste celui de l’Oulipo (1973) : moins dogmatique – jeu intellectuel plus que tentative d’affirmation contestataire sur la scène culturelle –, il semble indiquer la remise en cause, sinon le déclin, du genre. Le fait que les études critiques sur le manifeste (théoriques et analytiques) deviennent très rares, presque inexistantes, après les années 1980, semble confirmer ce déclin.
Et pourtant, au cours des toutes dernières années, on a assisté à l’émergence d’écrits qu’on peut, de quelque manière, reconduire au genre «manifestaire». Parmi ceux-ci, l’article Pour une littérature-monde (Le monde, 16 mars 2007), devenu un volume par la suite, signé par 44 écrivains francophones (Paris, Gallimard, 2007) et les déclarations programmatiques du Collectif «Qui fait la France?», qui réunit différents jeunes citoyens français issus de l’immigration. Dans les deux cas, des voix provenant de ce qu’on avait l’habitude de considérer comme les «périphéries» du champ littéraire français invoquent une révision des règles d’accès au champ littéraire lui-même.
Il est par conséquent licite de se demander si, primo, le nouveau tournant du siècle a recréé les conditions pour une réviviscence du Manifeste littéraire et, secundo, si et de quelle manière les caractéristiques du genre (techniques, esthétiques, stratégiques) ont changé."

Vue sur le programme

Anna Boschetti (Université de Venise), "La notion de manifeste" :
"Ce questionnement sur la notion de manifeste ne vise pas à une définition d’essence, qui prétendrait établir ce qu’est un manifeste. Il s’agit de s’interroger sur les conditions de possibilité et les fonctions des textes qui sont désignés comme des «manifestes», pour mieux comprendre leur apparition et leurs propriétés. Quelques évidences historiques interrogent la délimitation du phénomène. En effet, on voit, d’une part, que le manifeste n’est pas une pratique exclusivement littéraire et artistique: il y a eu des manifestes politiques, à commencer par le Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels, et on ne saurait négliger de réfléchir sur cette concomitance. On constate, d’autre part, que, comme il arrive souvent, la «chose» a une relative autonomie par rapport au «mot»: bien des textes ne se présentant pas explicitement comme des «manifestes» ont en fait revêtu la même fonction, ont contribué à élaborer ce «genre» et à en faire un des instruments les plus caractéristiques de la lutte symbolique. Pour se limiter à des exemples célèbres, on peut citer De l’Allemagne de Germaine de Staël, la préface de Cromwell et la Présentation que Sartre a fait des Temps modernes dans le premier numéro de sa revue. Ainsi le travail d’historicisation ne saurait s’en tenir aux « manifestes » se désignant comme tels. Une acception élargie de la notion permet de relier et de comparer des phénomènes à première vue distants, relevant de périodes historiques et de domaines très divers, tels que l’art, la religion et la politique. Cette comparaison a par elle-même des vertus décapantes et révélatrices : bien des traits qui nous paraissent à première vue propres aux manifestes esthétiques s’avèrent être en effet des modes de fonctionnement beaucoup plus généraux et s’éclairent différemment. En même temps, on peut arriver à dégager les caractéristiques spécifiques qui distinguent les manifestes littéraires et artistiques. Cette analyse se propose également de cerner les principaux facteurs qui ont favorisé dans la vie littéraire et artistique l’essor des manifestes. Il faudra aussi se demander dans quelle mesure on peut parler d’évolution et de déclin."

Paolo Tamassia (Université de Trento), "Littérature et réel dans les manifestes entre XXe et XXIe siècle" :
" Cet exposé a pour but d’analyser les transformations statutaires et la fonction du manifeste littéraire à partir de son âge d’or, où sa caractéristique principale était de créer une fracture – un «avant» et un «après» – afin d’instaurer une nouvelle éthique-esthétique dans la société, sur la base d’une axiologie forte, jusqu’à l’époque actuelle qui suit l’«ère du soupçon», déterminée par l’écroulement des idéologies et qualifiée à chaque fois de «postmoderne», «liquide», «de la consommation», «de la globalisation» ".

Elisa Bricco (Université de Gênes), "La posture manifestaire dans Ma Haie d’Emmanuel Hocquard" :
" Comme l’explique très bien Jean-Michel Maulpoix, dans le champ poétique d’aujourd’hui il n’existe ni de groupe ni d’école dominants, et par conséquent on n’a pas de doctrine ni d’idéologie. Il est pourtant vrai que parfois les poètes expriment leurs idées, Maulpoix d’ailleurs écrit des ouvrages de poétique à côté de ses poèmes, et qu’ils y affichent plus ou moins leurs goûts, leurs penchants, leurs convictions et leurs choix en littérature et en poésie. En outre, au début du deuxième millénaire, il est d’autant plus vrai, ainsi que l’affirme Jean-Marie Gleize, que «la posture manifestaire est devenue anachronique»; cependant, dans les ouvrages d’Emmanuel Hocquart, notamment dans Ma Haie (P.O.L., 2001), il me semble qu’on retrouve l’esprit des manifestes, ne serait-ce que par la démarche ‘au négatif’ de ses propositions et par la véhémence de certains de ses propos. Je vais chercher dans ce volume une sorte de ‘posture manifestaire’ à posteriori et je vais montrer que si cette attitude ne peut pas être considérée comme vraiment programmatique, elle pourrait être considérée comme une version actuelle des traits des avant-gardistes ".

Alessandro Corio (Université de Bologne), "Du manifeste insulaire au manifeste de l’archipel-monde: oxymores, nouveaux essentialismes, ouvertures et illusions" :
" Les littératures postcoloniales, et en particulier les littératures insulaires des Caraïbes, après la féconde et problématique saison de la Négritude, ont pris une direction ouvertement anti-essentialiste, hostile à toute rhétorique à caractère affirmatif ou dogmatique et à toute pensée systématique. C’est pour cela que l’apparition en 1989 du célèbre Éloge de la créolité, signé par trois importants écrivains martiniquais, réalise un mouvement oxymorique, essayant de réunir des affirmations identitaires et culturalistes, un normativisme esthétique et littéraire parfois rigide et une ouverture à la pluralité et au multilinguisme. Presque trente ans après, le manifeste Pour une littérature-monde en français, signé en 2007 par 44 écrivains et inspiré en partie aux élaborations théoriques caraïbes et à la pensée de la Relation et de la créolisation d’Édouard Glissant, reproduit le même oxymore : d’une part l’ouverture à la pluralité et à la diversité des écritures, d’autre part l’indication, souvent rigide et exclusiviste, de normes esthétiques et littéraires et de concepts fort problématiques. Ouverture, illusion ou combat d’arrière-garde? "

Maria Chiara Gnocchi (Université de Bologne), " Du Flurkistan et d’ailleurs. Les réactions au manifeste «Pour une littérature-monde» " :
" Le manifeste «Pour une littérature-monde» que 44 écrivains francophones ont signé en mars 2007, et qui a été suivi par un volume au même titre paru au courant de l’année chez Gallimard, a suscité toute une série de réactions qui se sont succédé dans la presse, sur Internet et même en librairie (voir notamment la «réponse» de Camille de Toledo, Visiter le Flurkistan ou les illusions de la littérature-monde, PUF, 2008). Les commentaires et les répliques au manifeste relèvent tour à tour du littéraire et du politique, ce qui est logique dans la mesure où les signataires mettent en question l’esthétique littéraire contemporaine aussi bien que l’istitution de la littérature avec ses structures, ses instances de publication et de consécration, etc. L’analyse de ces différentes réactions permet de comprendre tout les enjeux du manifeste «Pour une littérature-monde» et d’en évaluer la portée, la pertinence, la force de rupture."

Paul Aron (Université Libre de Bruxelles), " Diffusion électronique du texte et abstention manifestaire. Réflexion sur les enjeux institutionnels de la « mise au net » de quelques revues littéraires contemporaines " :
" Depuis une dizaine d’années, de plus en plus de revues littéraires renoncent à la coûteuse diffusion sur support papier, et préfèrent la «mise au net». La première conséquence de ce choix est d’ordre formelle: les revues se présentent sur un support souple, qui permet l’usage simultané de texte et d’autres médias, ainsi qu’une présentation utilisant les ressources de l’hypertexte. Une seconde est l’élargissement du marché éditorial sur lequel elles interviennent. La toile permet de sortir d’un contexte éditorial local ou national, pour se positionner dans un espace de concurrence beaucoup plus large (ou censément plus large). Que devient le manifeste littéraire dans ce cadre éditorial? Au terme d’une petite présentation des sites de revues contemporaines, je tenterai de baliser un cadre de réflexion ".

Aperçu de la Rentrée Libr-critique

Créations : Philippe BOISNARD, CUHEL, Festival EXPOÉSIE, Pierre JOURDE, Yves JUSTAMANTE, Stéphane KORVIN, Nicolas RICHARD, Stéphane ROUZÉ…

Chroniques : sur François BON, Raymond FEDERMAN, Claude LOUIS-COMBET, Valère NOVARINA, Louis PINTO, Christian PRIGENT (2/2), Lucien SUEL…

"Manières de critiquer" : Stéphane BAQUEY, " La Poésie aujourd’hui et les conditions du jugement critique " ; Philippe BOISNARD et Fabrice THUMEREL, " Nihil inc. de Sylvain Courtoux, une contre-utopie postmoderne " ; Fabrice THUMEREL, " Pour une sociogénétique littéraire "…

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rédaction

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