Braquant les broutilles tous azimuts, play play, stop le silence, la Marine en blanc de pucelle, métaphore de la Jeanne embûchée et débusquée dans le discours, débarque là-bas, en guadeloupe ou martinique, et se fait niquer le pied par les manants festifs des îles qui lui disent en rime présidentielle casse toi pôv conne !
de circulaires en canicule inversée, soyons dans la novlangue bien positive près de chez vous, ça s’esbaudit tout au long des flocons de neige, qui rappellent que mai est encore loin mais que la foire du verbiage a bien commencé.
aterré asterix le gol-moi, bave devant l’écran tout sondage dehors, y voyant déjà le 21 avril rameuté sa gueule un 22… Le con n’est plus à une paradose près.
L’Uni applaudit, audimate et auditionne, en peu de jours de croupebascule, il passe à la visibilité merdiachique et même conspué ou empêtré il y retrouve ses petits qui de oued en oueb parviennent à remonter viralement jusqu’à la source de l’adhésion. Oliver Vial, trop heureux, "rien à foutre de toute façon de Guéanguenon" se frotte les mains, façon rabbin se dit-il ou juif du sentier qui a fait un mauvais coup. Quoi qu’on en dise on ne se refait pas, de blagues en contrepèteries, la rime s’assume et se hume ! VIVAL’VIAL ! VIVAL’VIAL crie l’assemblée attablée aux mets de sa sainte charité téléritue