Une fin en feu d’artifices : lieux communs et télescopages divers… [Lire le 7e extrait]
Un trait menace et puis me nargue
Un trait me trace
sur toute la longueur nécessaire, nécessairement démocratique
S’aimer fragile sans douter que mille fois on est tombé dedans
Ceci dit, je mens dès que je rencontre
Chaque rencontre est mensonge parce qu’il y a des fragments
Il y a un arbre qui a trop d’eau dans ce pays d’où je t’appelle
Un pays de putes et d’ex enfants de mauvaise graine qui se perdent en souvenirs hachés menus
J’t’ hachure parfois
que la rencontre est un mensonge
Encore qu’il n’y ait rien de physique, comme dans la lutte ou le déni perpétuel
< Y en a franchement (…)
C’est comme quand on se décide à finalement ne pas allumer la lampe / quand nous prend une envie subite et dorée sur les coups de 3 h du matin
< Ça, c’est du sport !
Il y a de bonnes raisons de tout débrancher ou de se gaver d’une bonté gouailleuse et sucrée revenue contre toute attente
Allez reviens !
La porte est aussi seule que toi dans sa réalité
Tu veux te cogner, ça te regarde
Mais ne réveille rien
A ce moment le peu de ciel visible n’appartenait plus à personne, et ses points par millions qui veulent faire croire au jour, le propriétaire de ses yeux-là, pensera-t-il à les ouvrir, demain, quand les ombres auront doublé la mise ?