Suite aux Libr-commentaires de l’actualité que Thierry Rat a bien voulu nous délivrer dimanche dernier, c ‘est avec plaisir que nous publions le décapant extrait de son prochain livre…
Fin de sadisme c’est l’heure du pastis abordons le calice riche idée que d’apéroter à l’heure fraîche poivroter en cadence sous la treille à la tienne et vaille que taille la pipe de préférence, en révérence les protubérances! La Nénette dite aussi six fesses prépucée aux affaires pubis à l’gosier râpeux, elle apprête les machins en un tour de main va-et-vient sacquant sur les mandrins,
« j’dépiaute de l’anguille vase mitron casque bite l’saucisme c’est mon cul sec houlahoupe barbe au fion les cahouettes en goguette, foutreux galants, lèche ! Nénette lèche ! Nous nous lichons l’anis et là c’est la niche après câlin, rentre ton larbin égoutté y a plus rien à crachouiller, ration de bitures crevons l’imposture des fions, béni soit l’yahvé du tort à travers des versets salpingiques liturgies d’biturgies saint maquereau des corps en décomposition en prospération lève toi lazard y a fusion devant l’encaleçonné perforé et autres complices d’acquisiteurs du saint orifice pas plisser du con du concassage des consciences martelées constipées, s’astiquer les stigmates en expiant l’originelle faute de l’orignal bête orgies des contrées obscures où les serfs vidés jusqu’à l’os conspuent le seigneur tout puissant, foutre ordinaire de l’ordre séculaire pour les sièges des siècles et des siècles devant la herse le barbelé, la tour et les funestes célestes cités du genre merdier à brûler,
Ô ! Corps calcinés la vanité des pieds damnés ah ! L’enfer danse dans ses cercles, limbes moi l’lobe du z’oreillons que bandasse nos tignasses dans les verts pâturages où l’berger encule les moutons du pathos,
et in arc en ciel ego avec l’air luminoterreux du curator exposateur des merveilles reliques du saint eunuque anal goret bienfaisant faisander par l’absence de vagin cloué au bénitier pour l’exemple,
chair malade moribonde calfeutrée sous les voiles hypocrites branle-toi tout seul geignard pontife crevard des autels,
t’auras du boudin consacré des pastilles pour la vichy céleste,
l’éternel à bretelle veille en mouchard kapo au barbecue mentor des braises avec l’encensoir pour l’échafaud
Allons ! Allons ! Trinquons encore à la baise,
allez zobzob tous dans la même barque, tous dans la même barnaque ça raque l’arnaque mes croupillons du bas fion, prenons l’couilles en air le frais vent du derche les sacs à foutre et les vagines poulardes souquons à la rame mes drames égrillardes lardasses cyprineuses et mes cieux éthérés dévautrés par tonnerre de baise boom ! Boom ! Awax l’ajax tutélaire récure les nuées l’éther nué dans l’sac à morgue la tête à Toto rigolo sans son tronc ça annonce l’ouverture, ouvrons, ouvrons, les ovins les ovnis bovidés à tuyaux verts fluo, aux écoutilles boucaniers fumez moi ces gravieux capitaleux porte trou de balle la caque au cul du 40 eme ruminants des cotations la côte est là proche du porc servile servons l’boudin à profusion noble jus de parvenus à maturité pour l’abattage final un patron bodybuldé et sa descendance à enfiler fiers brochettes de culs lustrés madame du monsieur permettez nous la danse des affamés des infâmes damnés racailles des entreponts, vermines de basse culotte et la vôtre est vermeil transluçant le putride le vernis des couches supérieures du pont teck, ciré par larbins étrillés, Oyez ! Oyez ! gent croupissante nous la croupe nous crapahutons l’entre-dune savonnée soudards du mignon parfumée nous entrons par la porte d’or, l’ovulante pulante vaginotrouspinons la monture, la belle cabrée aux mains des flibustiers déballe débits débiles d’insanes sottises, capt’aine Nénette dite aussi cap’taine six fesses fourbie sa lame à billot tranche licco dans le vif du sujet, hé !grouillots de pâte à bobo j’occis autant qu’j’estoy la poulaille est à moi freluquets damerets de pisse-mortier allez croupir avec vos rasoirs, la barde donzelle pioupioutant son livret d’jactasses est pour ma rôtissoire j’glaviaude sur l’cuisseau d’l’aristo aux totottes plastoches, folache femelle ligotez moi s’roti rose qu’jy lardouille la belette j’l’y broute la cramouille en pure morale lubrique aboule toi là crachouilla d’margouillat arrête tes gargouillades ma gaillard j’va occire ton pussy ton pucier à pipi en t’croupionnant la tranche de brie l’orientifice se lève menu plissé soleil à formuler des étrons, j’emmanche mon battoir j’vas t’essorer le troufignon le mignon ma dondon dit capt’aine Nénette dite aussi capt’aine six fesses forant le trou du cul de la bobette, Montjoie! Montjoie saint Trouspan! Voyez cette giclée d’grumeleuse souillasse verte c’est du bio du vrai jus d’pouillasse, madame votre denrée alimentaire bien digérée est des plus délicate, épinards! Brocolis! haricots verts! et d’la coque de fayots, bonne récolte mes cagouilles! L’battoir sent l’bren naturel !
Humez ! Humez boucaniers ! les verts pâturages des hauts plateaux du bien manger, ça sent l’durable et l’équitable la coopérative des bien-pensants qui mangent bien panse bien !
Ça schlingue même pas l’tanin point d’aigreur juste du bonheur !
Allez à table ! Nénette donne la soupette de jus d’soubrette du brouet d’chaudasse,
allez mes forbans mes glands fourbes coureurs de mes mers le régale fumet de la gente blasonnée est servi point de finasseries c’est le met capital »
à ce moment le geignard bodybuldé tente l’embardée par la planche de salut, cafard libéral frousse au dard.
« Point de quartier mes Jacques élardez-moi s’roupion qu’on l’oblitère de l’appendice Madame votre époux est un honorable membré permettez que j’asseye mon derrière sur l’éminente merveille, allez mes pandards dressez-moi c’dard que j’illustre sa moelle souquez ferme ! Souquez ! Souquez branlent canons, tous au mât de cacatois j’ai la purée au bord du fion faut faire péter l’bouchon c’est l’heure d’apéroter. »