C’était lors de son dernier passage à Paris que nous avons rencontré Jonas Magnusson, grâce à Jacques Sivan et Vannina Maestri. Jonas Magnusson co-dirige la revue OEI, sorte de pavé de 700 pages pour le numéro qu’il nous a offert où sont aussi bien des poètes que des plasticiens qui ont un rapport à la poésie ou au langage. Nous reviendrons prochainement dans une chronique sur ce numéro.
ça fait plaisir d’entendre parler J.Magnusson ! Mais pourquoi faire cette interview dans un bar bruyant sans le matériel d’enregistrement adéquat ? Au 2/3 de l’interview (selon le matériel de diffusion sonore) la discussion des deux voisines submerge +/- entièrement ce qui est dit…
bonsoir, comme un certain nombre d’interviews que nous faisons, ils sont improvisés, nous profitons de croiser des poètes (ici nous mangions avec nos amis Vannina Maestri et jacques Sivan, qui participent à la revue de Magnusson). Pour celui-ci, je n’avais que mon téléphone Nokia N90 (bonne optique quand même) et nous étions dans un restaurant.
Pour ma part j’aime bien aussi ce rapport direct à la parole, où rien est préparé.