[NEWS] NEWS de mai

Après une UNE qui va trancher avec tous les hommages ambiants/dégoulinants à Philippe Sollers – dont le soleil s’est bien terni depuis un tiers de siècle –, Pleins feux sur les dernières parutions de Lanskine (LC les a toutes lues et vous les recommande), trois livres reçus en plus et nos Libr-événements…

UNE : Le clin d’œil de lèse-majesté /Daniel CABANIS/

Pleins feux sur les dernières parutions des éditions LANSKINE

► Guillonne BALAGUER, Ou couchée sur le flanc, 56 pages, 13 €.

► Didier BOURDA, Le Fossé macinante, 64 pages, 13 €.

► Elsa GRIBINSKI, (Yarmouk 2012), 48 pages, 13 €.

► Cathy JURADO, Hourvari, 64 pages, 13 €.

► Béatrice MAURI, Reste(s), 136 pages, 16 €.

► Florence PAZZOTTU, L’Accouchée, postface d’Alain Badiou, coll. poche, 64 pages, 8 €.

► Juliette PENBLANC, Point d’impact, 112 pages, 15 €.

► Cécile RIOU, Connaissance du centre, 104 pages, 16 €.

► Orin ROSNER, Lionceaux du vent, trad. de l’hébreu par Emmanuel Moses, 64 pages, 14 €.

► Frank SMITH, Syrie, l’invention de la guerre, 232 pages, 20 €.

► Nicolas TARDY, Localisation Londres, 48 pages, 13 €.

► Maud THIRIA, Falaise au ventre, 56 pages, 14 €.

Libr-livres reçus (avril/mai 2023)

► Jean-François BORY, Un vernis sur le néant, éditions Terracol, 272 pages, 25 €.

► Christophe ESNAULT, Pas même le boucher, éditions Æthalidès, 72 pages, 16 €.

► Jean RENAUD, 67 compressions suivi de Petite suite Racine, éditions Unicité, coll. « Éléphant blanc », 102 pages, 14 €.

Libr-événements

►

► 15e Festival Les Eauditives, jusqu’au 15 à Toulon : programme.

► Le vendredi 12 mai @ Databaz _ intermedia art center avec le soutien des Pépinières européennes de Création – 100 rue du GOND – ANGOULÊME – dans le cadre du POC et en parallèle de Hors-jeux (Saxifraga)

Que reste-il du corps humain à l’ère de la génération automatisée par IA de photographies réalistes ? Si la numérisation a pu apparaître comme la conservation de traces de notre humanité telles que le souligne les Stèles binaires de Davi Guez, elle s’est vite transformée en possible miroir egotique, pour dorénavant se substituer à la présence réelle humaine. Mais n’y aurait-il pas une forme d’inconscience de cette numérisation, comme l’expose Olivier Auber à travers ses séries de portraits ?

► Lecture de Vanda Benes et Christian Prigent le dimanche 14 mai (17 h 30) à Montpellier au Théâtre du Hangar, dans le cadre du festival « 10 jours en mai » / « Comédie du livre ».