[Lire l’épidose 2]

Avis à grand frais du grand froid de Nora Nora comme on dit Bora Bora. La poésie cela s’invente pas, à la cantine des titines on la publie à coup de blolitique comme les breloques de tartanpion. Par ce temps que les sdf restent au chaud chez eux.

Et Romano Romana qui des hommes qui sombrent vacharde avariée, au physique pouf prend en grippe les autres femmes de la politique. Qui a bu boira, Romano Romana critique sans ascèse l’Eve norvégienne soudée au plancher, sondage soudé en cale d’avion, ou la Belle du Poitou au relookage bistouri. Et quoi ! la politique à hauteur de fesse, se fait un lifting verbal à coup d’incisive cannibale.

Romano Romana, pourtant, ventre bedonnant, au bras bonhomme michelin, pourrait d’elle-même se faire miroir, car de plus belle en poubelle, de vulgate esthétique en vulgarité politique, elle n’aurait de leçon à tancer à personne au vu de sa stature ordurière aux gros sabots droitistes.
Pendant ce temps-là, coincée à La Réunion, la Marine prend le soleil loin très loin des feux et contre-feux de la métroglose, dithyrambique sur les DOM, évitant le regard sombre des hommes de là-bas. Pendant ce temps-là toujours en grippe, Gueanguenon a beau s’accrocher à son parti, baffe sur gaffe, il se prend des retournés merdiachiques en veux-tu en voilà mon pôv gars.

Pendant ce temps-là, l’irréprochable Eric W. bassiné pour quelques arpents de terre domaniale mal ficelée, se fait rattraper clopin clopant, seul dans son bain, par le juge pas gentil pas gentil de Bordal des bord’eaux. Pendant ce temps-là, toujours pas fanée l’affaire des fadettes remue en tout sens, après la courroie de transmission, son auxiliaire débinée de Nanterre : Marie-Christine.